Centre de Gestion Agréé Artisans, commerçants et agriculteurs d'Auvergne et d'Occitanie

Myriam, 33 ans

VENDEUSE EN PRÊT-À-PORTER

Centre de Gestion Agréé Artisans, commerçants et agriculteurs d'Auvergne et d'Occitanie

Daniel, 53 ans

AGRICULTEUR

Centre de Gestion Agréé Artisans, commerçants et agriculteurs d'Auvergne et d'Occitanie

Lucas, 28 ans

BOULANGER

Centre de Gestion Agréé Artisans, commerçants et agriculteurs d'Auvergne et d'Occitanie

Tatiana & David, 30 ans

PEINTRES EN BÂTIMENT

Centre de Gestion Agréé Artisans, commerçants et agriculteurs d'Auvergne et d'Occitanie

Eric, 40 ans

COIFFEUR

Centre de Gestion Agréé Artisans, commerçants et agriculteurs d'Auvergne et d'Occitanie

David, 35 ans

MEDECIN

Nos missions
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Missions du Centre de Gestion Agréé des Artisans, Commerçants et Agriculteurs d'Auvergne et d'Occitanie

L'ATTESTATION D'ADHÉSION

Après la réception et le contrôle formel de votre déclaration professionnelle, une attestation d’adhésion est délivrée à l’administration fiscale.

Cette attestation vous permet de bénéficier des avantages fiscaux liés à l’adhésion à un CGA.

LE DOSSIER DE GESTION

Chaque année, un dossier de gestion est établi. Ce dossier présente une analyse comparative des trois dernières années, des ratios et des indicateurs comparant les données de l’entreprise de l’adhérent avec celles de la profession.

Un dossier de prévention des difficultés économiques et financières est joint au dossier de gestion afin de prévenir des difficultés des entreprises.

LE COMPTE RENDU DE MISSION

Un compte rendu de mission est rédigé pour chaque exercice comptable. Il constitue un rapport de contrôle suite à un travail d’examen approfondi et complet du dossier fiscal de l’adhérent.

Ce rapport est transmis à l’adhérent ainsi qu’à l’administration fiscale.

LES FORMATIONS

Tout au long de l’année, les adhérents sont conviés à des réunions d’information et formations abordant des thèmes variés : gestion, fiscalité, social, sécurité, informatique …

Compris dans le coût de la cotisation, ces formations d’adressent au chef d’entreprise, à son conjoint et à ses salariés.

L'EXAMEN DE CONFORMITE FISCALE

Dans la continuité des mesures relatives au « Droit à l’erreur » mises en place par la loi n° 2018-727 du 10 août 2018 pour un État au service d'une société de confiance, dite loi ESSOC, un nouvel outil est proposé aux entreprises afin de s’assurer de la bonne application des règles fiscales et d’accroître leur sécurité en matière fiscale : l'examen de conformité fiscale (ECF).

Créé par le décret n° 2021-25 du 13 janvier 2021, l'examen de conformité fiscale permet aux entreprises (individuelle ou société), quels que soient leur chiffre d’affaires et leur régime d’imposition, de confier à un prestataire un contrôle préventif sous la forme d’un audit. Ce prestataire peut être un commissaire aux comptes, un expert-comptable, un avocat, une association de gestion et de comptabilité ou un organisme de gestion agréé.

Le chemin d'audit est détaillé dans l’annexe 1 de l’arrêté du 13 janvier 2021 d'application du décret du 13 janvier 2021. Il comprend 10 points précis, considérés comme les points fiscaux les plus fréquemment contrôlés.

Un cahier des charges mentionné dans l’article 1 du décret précise les modalités de conduite de l'ECF pour chaque point du chemin d'audit et détermine les obligations du prestataire dans sa relation contractuelle avec l'entreprise. Ce cahier des charges est précisé dans l’annexe 2 de l’arrêté du 13 janvier 2021.

L’examen de conformité fiscale porte sur un exercice fiscal et fait l’objet d’un compte-rendu de mission rédigé par le prestataire, suivant le modèle défini par l’arrêté du 13 janvier 2021. Ce document doit être transmis à la direction générale des finances publiques (DGFIP) :

  • au plus tard le 31 octobre de l’année du dépôt de la déclaration de résultats, pour les exercices qui coïncident avec l’année civile
  • dans les six mois suivant le dépôt de la déclaration de résultats, dans les autres cas

Il doit être conservé par les parties jusqu’à la prescription du droit de reprise de l’administration fiscale.

Cette mesure n’exonère pas l’entreprise de ses obligations mais en cas de contrôle entrainant un rappel d’impôt sur un point audité et validé par le prestataire, l’entreprise peut demander le remboursement de la part des honoraires correspondants.

Par ailleurs, si l’entreprise a bien pris en compte les recommandations formulées par l’auditeur, la DGFIP pourrait ne pas exiger le paiement de pénalité ni d’intérêt de retard.